Vie (et pas encore mort) d’un libraire de quartier
Mais les spécialistes sont pessimistes sur l’avenir des librairies face au livre numérique
Dans la rubrique "Rien à voir avec la doc juridique pure", je n’ai pas pu résister.
Résister à quoi ?
A ... Eh bien à ... Bon, enfin, voilà : je vous suggère d’aller faire un tour et lire quelques billets sur ce blog-ci :
Les libraires se cachent pour mourir
Un commentaire rapide se trouve déjà là, mais je vais rajouter le mien :
Les libraires se cachent pour mourir, c’est de l’autodérision. C’est un libraire au contraire bien vivant, parfois fatigué par les marottes de ses clients. C’est une tranche de vie d’un professionnel de la vent de bandes dessinées (BD pour les intimes) et un bonne dose d’humour (souvent un peu noir, l’humour).
C’est réaliste et c’est drôle. Bonne lecture !
PS : Cela dit, au dernier débat public en date, au Sénat, sur le livre numérique [1], l’économiste et enseignante Françoise Benhamou disait :
« La librairie ne peut pas devenir [uniquement] un lieu de convivialité et de socialisation. [...] Il est clair qu’elle va évoluer, qu’il n’est pas certain que toutes les librairies aient vocation à demeurer vivantes dans un avenir un petit peu lointain.
Cependant, on peut faire une analogie avec le rôle du spectacle vivant dans la musique. Il y a eu une revalorisation du spectacle vivant paradoxalement à la faveur du numérique. »
Emmanuel Barthe
documentaliste juridique
Un des bandeaux dessinés pour le blog
Notes
[1] L’avenir de la filière du livre numérique : rapport d’information n° 522 de M. Jacques Legendre, fait au nom de la commission de la culture, déposé le 2 juin 2010.
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